Une grue cendrée, juvénile et donc probablement un peu naïve, pense qu'elle se dissimule bien au milieu de tout ce blanc.
Chevreuil soudainement angoissé par toute cette humidité.
Une grue cendrée, juvénile et donc probablement un peu naïve, pense qu'elle se dissimule bien au milieu de tout ce blanc.
Chevreuil soudainement angoissé par toute cette humidité.
Cet hiver, mangeoire en forêt. Voici un medley des clichés que ça a donné :
Lors d'un affût, un éclair gris passe au dessus de la mangeoire et chope une des mésanges. Quelques secondes plus tard, celle-ci parvient à s'échapper en poussant des petits cris de joie et d'humiliation. L'épervier s'est ensuite posé bien en évidence et est resté dépité le temps que je l'immortalise.
Ai trouvé ça dans le sous-bois, du coup je l'ai utilisé comme décoration.
Lui, il venait pas pour la mangeoire mais il passait juste dans le coin.
Bilan de l'expérience, les mésanges occupent l'espace 98% du temps, avec la sittelle et le rougegorge. Quelques pinsons timides passent par là, et puis les autres espèces très sporadiquement, un peu comme si personne pouvait blairer les mésanges.
Ah oui et puis aussi le campagnol :
La Chevêchette d'Europe chante très fort pile poil à l'aube ou au crépuscule. Ca met l'ambiance.