Je profite de cet orvet fragile photographié au Schneeberg pour narrer une anecdote truculente :
Un jour que je faisais un tour en VTT autour de Dabo, je croisai un orvet fragile sur le petit single sympa que j'étais en train de descendre. Malheureusement, le temps de m'écrier "Ah non merde ! " je roulais sur le bout de la queue du dit orvet. Je freine. L'orvet semblait totalement impassible sauf sa queue qui sur 5 centimètres se mit à gigoter à fond pendant 30 secondes puis "POUK" se détacha tout net.
Alors okay c'est connu que les lézards arrivent à se séparer de leur queue en cas d'urgence mais vu en vrai et en live c'est en fait hyper impressionnant (et un peu dégueu).